Le premier album du duo nous offre une musique palpitante à l’image de l’énergie des deux garçons.

Une pop mélodique tantôt électrique, tantôt acoustique teintée de synthé

L’écriture se présente dans sa plus stricte intimité. La voix puissante et douce de Doug nous emporte instantanément dans leur univers.

Les émotions s’enchainent, nous voila absorbés.

Starlight
You can lay on me
face to face
It's only money
Everything reminds me of you
Starlight
Golden hour
Calm down
Italian girls
Surviving
Give me what i want

Doug se livre, porté par les compositions et productions de Lucas. On retrouve dans l’album, des fragments de vie d’un trentenaire 2.0 ancré dans les questionnements de son temps. Allongé sous les étoiles (Starlight), assis à table avec son ex (Face to Face), se souvenant d’un amour perdu (Everything), on est avec eux comme dans un film.

Anthony Augustin déverrouille 10 portes, laissées entrouvertes à la réflexion sur soi. Tout du long, la mélancolie tisse sa toile de fond offrant un étonnant jeu de contraste et se paye même le culot de nous faire rire avec Italian Girls

Starlight, un album écrit à la première personne du singulier mais qui se conjugue définitivement, à la première du pluriel.